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[Test] BlackBerry BOLD 9780
BlackBerry avait pendant longtemps habitué sa communauté, aux modèles à clavier, initialement la cible était les pros en quête de mobilité, pour être aussi réactif au bureau qu’en extérieur. Recevoir ses mails en direct, avoir accès à son carnet d’adresse, ses rendez-vous, le tout synchronisé en temps réel, voici ce qui a été mis en avant par l’entreprise canadienne jusqu’à aujourd’hui. Avec la concurrence, la marque s’est ouvert à une clientèle plus large désirant lier l’utile à l’agréable (merci aux réseaux sociaux et aux marchés des applications). Parce que les smartphones à clavier physique, c’est la spécialité de la firme, j’ai donc choisi de m’essayer au BlackBerry Bold 9780, le dernier modèle de cette catégorie disponible à ce jour en France.
Le contenu du coffret:
De manière générale, les BlackBerry sont assez bien fournis en contenus, regardez par vous même:
1 chargeur secteur avec plusieurs adaptateurs
1 kit piéton
1 cable USB
1 étui officiel
1 CD d’installation
Les manuels d’utilisation
Quelle différence par rapport au 9700 ?
Mis côte à côte, il peut s’avérer difficile de distinguer les deux mobiles, l’aspect extérieur, cher à BlackBerry est conservé à l’exception de la bordure silver absente sur le 9780. Certains d’entre-vous préfèreront l’une ou l’autre, me concernant le full black est meilleur, plus classe 🙂 les goûts et les couleurs ne se discutent pas. En réalité, tout se joue sur l’architecture interne des smartphones, voici un rapide comparatif entre les 3 Bold.
BlackBerry OS 6
Depuis la précédente version de BlackBerry OS, l’interface visuelle a subit une cure de rajeunissement, l’âge de l’OS 4 se faisait ressentir, il était donc urgent d’agir en conséquence. La navigation est aujourd’hui plus intuitive, il n’est pas utile de lire le manuel en long, large et en travers pour accéder aux fonctions de base, d’ailleurs un tutoriel vous aide à paramétrer votre appareil lors du premier démarrage. Très fluide cette mise à jour s’avère très bien faite, le panneau principal vous permet de configurer plusieurs fonctions (connections, profils…) sans passer par le menu « options ». L’autre fonction qui m’a agréablement surprise a été la barre de notifications.
En un clin d’œil, accédez à toutes les notifications sans avoir à passer par le menus complet. Les nouveautés de cet OS sont nombreuses, on notera également la mise en place de la recherche universelle similaire à celle présente sur un IPhone par exemple. Taper un mot clé et le mobile se chargera de rechercher dans les mails, les messages textes et les dossiers présents dans la mémoire interne et externe du mobile. Cela peut se révéler très utile surtout lorsque l’on a plusieurs comptes de messagerie. Pour le reste, les adeptes des mobiles à clavier de la marque trouveront facilement leurs repères, c’est bien connu, BlackBerry ne souhaite pas désorienter l’utilisateur lorsque ce dernier souhaite évoluer vers un modèle plus récent.
En utilisation quotidienne, ça donne quoi ?
Contrairement au Bold 9000, le 9780 est particulièrement endurant, il m’a tenu en moyenne 3 jours. L’autonomie peut varier selon l’utilisation de chacun, ceci dit, les mobiles à clavier tiendront plus la charge que les modèles tactiles, car leurs écran sont moins gourmands en énergie. Même si BlackBerry 6 intègre un navigateur basé sur Webkit (identique à celui des IPhone), la navigation sur un écran de taille réduite n’est toujours pas aisée, les écrans tactiles se prêtent plus à cet usage car leur résolution est plus élevée et leur diagonale est plus grande (3,7 en moyenne contre 2,4 pouces). Pour ce qui est du multimédia, le 9780 s’en sort assez bien. Mise à part l’écran de petite taille pour la lecture de vidéo, les photos prises sont d’assez bonne facture et la qualité sonore est au rendez-vous. La LED de notification est toujours aussi pratique, appels manqués, messages reçus, mails entrants, rendez-vous, tout est pris en charge.
Le mot de la fin
Faut-il passer au 9780 lorsque l’on a un 9700 ? Je dirai que non, l’interface pouvant être mise à jour, l’écart ne justifie pas un changement de portable d’autant plus que l’autonomie des deux appareils est très correcte. En définitif, cette version est une mise à jour du 9700, mis à part les nouveautés de BlackBerry 6, nous sommes en présence du smartphone dans la même ligne de conduite que les autres modèles de la gamme. S’il fallait en choisir un, je vous le conseil vivement, car dans la gamme des modèles à clavier, c’est une valeur sûr.
Pour ce qui est de l’usage multimédia pur, passez votre chemin, l’écran étant de taille réduite, il faudra scroller en permanence et s’amuser avec la loupe pour zoomer / dezoomer une zone de la page consultée. Dans ce cas de figure, je vous oriente vers le BlackBerry Torch 9800 qui reprendra les mêmes caractéristiques que le 9780 dans la partie logicielle puisqu’il intègre aussi BlackBerry OS 6. Ce qui est regrettable est que RIM conserve la même résolution d’écran sur les deux appareils.
Test complet du HTC Mozart
Après quelques mises à jour mineures annoncé ici et là, Microsoft souhaite de nouveau revenir sur le marché fructueux des smartphones avec un nouveau support j’ai nommé : Windows Phone 7. Apple gagnant de plus en plus de part de marché sur le plan mondial, les concurrents ne pouvaient rester inactifs. Chacun tente de tirer son épingle du jeu en mettant ses atouts. Es-ce vraiment rendre service aux consommateurs de proposer tant de mobiles ? Quelles sont les opportunités offertes par cette nouvelle version ? Microsoft à du moins investi une grosse somme pour revenir dans la danse, allez-vous pour autant retenter l’expérience ? Me concernant j’ai mené ma petiote enquête, je vous laisse trouver des réponses à vos question dans le dossier qui suit. Bonne lecture à toutes et à tous !!!
Test complet du HTC 7 Mozart, un des modèles de la gamme HTC sous l’environnement Windows Phone 7.
HTC Mozart : En avant la musique (suite et fin)
Software: Windows Phone 7
Prise en main
Ayant utilisé la version précédente de Windows Mobile (6.1 / 6.5), la présentation de cette nouvelle version est une rupture avec le passé. Pour rappel, l’environnement a été revu depuis le début, ceci étant, on remarquera que l’interface a puisé son inspiration dans les menus des lecteurs MP3 lancés aux États-Unis pour concurrencer les IPod j’ai nommé le Zune. Le défilement dans les menus s’avère être très fluide, pour l’avoir testé pendant près de deux semaines en utilisation quotidienne, je n’ai constaté aucun ralentissement de ce côté là du moins. Comme il a été dit plus haut, tous les mobiles sous WP7 ont la même interface sous forme d’étiquettes. Lors de l’ajout de plusieurs applications sur la panneau principal, la navigation peut être un peu moins ergonomique (listing), les panneaux sont assez imposants. Pour les plus gourmands on peut tout de même retrouver les applications classées par ordre alphabétique. A vous de choisir celles que vous voulez mettre en premier plan, de la même manière qu’un raccourci.
La messagerie / La navigation Internet
A l’instar des smartphones du moment, la configuration de la messagerie électronique est intuitive. Dans le cadre du test, j’ai utilisé 3 serveur de messagerie différents (Yahoo, Hotmail & GMail). Aucun souci particulier, les messages arrivent et les messages non lus apparaissent dans une colonne prévue à cet effet. Petit bémol sur l’ouverture des pièces jointes qui sont pratiquement illisibles mis à part les documents office. A titre de comparaison, sur Android on peut lire des vidéos grâce aux logiciels tiers et sur un IPhone c’est également le cas. La navigation sur Internet est disponible via Internet Explorer, un navigateur assez docile, très réactif surtout lorsque vous sollicitez un zoom avant et arrière. Il n’a pas à rougir face à la concurrence. Le seul reproche est qu’à l’heure actuelle les contenus Flash ne sont pas pris en charge.
Le multimédia
L’utilisation du player intégré est un vrai bonheur, la navigation en croix est tout simplement efficace, cela évite de remonter des arborescences comme sur certains lecteurs mp3. Une fois les transferts effectués via le logiciel Zune Software, on retrouve tous les éléments pourvus qu’ils soit bien taggés à la source (PC) dans le cas contraire, cette étape peut devenir un vrai cauchemar. L’écran est de bonne facture, cependant il reste un peu petit à mon goût. Les écrans 4 pouces ne sont pas de refus surtout pour la vidéo. D’ailleurs le logiciel de synchronisation converti automatiquement vos contenus vidéo lorsque vous souhaitez les transférer dans votre mobile.
Autonomie
Un utilisation quotidienne, j’ai pour habitude de consulter mes 4 boites mails en Push, naviguer sur Internet et passer différents appels. Le mobile tient aisément 2 jours. Comme d’habitude, les résultats sont à prendre avec des pincettes, l’autonomie peut varier en fonction de l’utilisation de chacun. Notez tout de même que la technologie de l’écran ainsi que sa taille jouent un rôle important sur l’utilisation de la batterie.
Le mot de la fin
Pour conclure je dirai que cet HTC est pour moi, le meilleur compromis du moment. Sa finition est exemplaire, le mobile a une autonomie acceptable quand on pense que certains mobiles de la même marque doivent être rechargé tous les jours. Pour les personnes souhaitant accéder aux fonctions de base d’un smartphone (mail, réseaux sociaux et navigation sur Internet) il s’agit d’un bon compromis surtout pour avoir un aperçu de WP7.
Même si cet OS est plus en accord avec les standards actuels surtout pour la navigation sans stylet, il traine encore quelques défauts. Les mobiles sous Windows Mobile étaient beaucoup plus personnalisables (thèmes, fonds d’écran, sonneries…), les applications externes étaient compatibles (installation depuis le mobile avec des fichiers exe). En 2011, sous Windows Phone 7, on dit non au copier/coller, non au transfert de contenu multimédia sans logiciel de synchronisation (Zune Software obligatoire) et non à la reconnaissance du mobile comme une clé USB (sans bidouillage). Pour ne pas être pessimiste, on dira que les choses vont s’arranger au fur et à mesure par le biais de mises à jour qui devraient voir le jour d’ici peu.
HTC Mozart : En avant la musique !!! 1/2
Pour inaugurer le lancement de la nouvelle version du système d’exploitation pour smartphone, Microsoft avait préalablement soumis un cahier des charges aux grands acteurs de la téléphonie mobile parmi lesquels HTC, Samsung ou encore LG. On soulignera des caractéristiques homogènes sur les différents modèles proposés telles que la résolution de l’écran, la non prise en charge de mémoire extensible ou encore l’interface visuelle uniforme, ce qui n’a pas laissé beaucoup de marge de manœuvre pour se distinguer les uns des autres. Sous Windows Phone 7, voici le test tant attendu du HTC 7 Mozart.
Les caractéristiques techniques:
Nexus S : Mes impressions
Fortement inspiré par le SAMSUNG Galaxy S, le Nexus S se distingue par la présence d’un flash, la disparition du slot micro SD au profit d’une mémoire interne de 16 Go. A l’isntar d’un Nexus One, le Nexus S ne dispose d’aucune surcouche logicielle, il n’y a donc aucun logiciel tiers, on retrouve l’OS sans encombre. Débloqué d’office le Nexus S vous offre la possibilité d’utiliser les cartes SIM des différents opérateurs actuels pourvu qu’il s’agisse d’une carte de taille standard. Voici les caractéristiques techniques de la bête :
- Écran 4 pouces légèrement bombé (Contour Display), Super AMOLED
- Résolution de 480 par 800
- Processeur Hummingbird 1 GHz
- 16 Go de mémoire flash interne
- Capteur NFC (Near Field Communication)
- Une batterie de 1500 mAh, pour une autonomie estimée à environ 6h40 en temps de communication
- Wi-Fi 802.11 b/g/n
- Bluetooth 2.1 + EDR
- Accéléromètre, boussole numérique, gyroscope sur trois axes, capteurs de lumière et de proximité
- Caméra arrière 5 mégapixels, enregistrement vidéo 720p, flash, autofocus
- Caméra en façade VGA
Dans les entrailles de la bête
Avec une finition de type « Glossy » à la Samsung, le mobile se révèle être très léger (129 g contre 137 g pour l’IPhone 4). On aurait pu penser que les 4 pouces allaient entrainer un surpoids, mais ce n’est pas le cas. La coque du mobile est entièrement en plastique. Pour les adeptes des coques durs à la IPhone 4, il faudra passer son chemin. L’avantage est qu’en cas de chute la coque arrière est remplaçable de même que la batterie est amovible. Sur la tranche droite du mobile, on retrouve le bouton pour l’allumage et l’arrêt du mobile. La tranche gauche laisse entrevoir deux bouton pour le réglage du volume. Sur la partie inférieure on retrouve le micro, le port Micro USB pour la synchronisation et la charge de l’appareil ainsi que la prise jack 3.5 mm pour les écouteurs et le kit piéton.
Que donne le pain d’épice (Gingerbread) ???
Ayant eu en main le Motorola Milestone premier du nom sous Eclair (Android 2.0 et 2.1) la navigation ne m’a pas été totalement étrangère, ceci étant on notera quelques différences. Sur le mobile à clavier on avait droit à un menu en forme de casier, sur le Nexus S, on a droit à un menu avec une interface aux icônes en relief et le tout, sous la forme d’un rouleau. L’accès au menu ainsi que le retour à la page d’accueil sont assez fluides. Je n’ai constaté aucun ralentissement à ce niveau. La quasi totalité des applications de l’Android Market sont compatibles, en voici une liste non exhaustive :
– AlloCiné
– Advanced Task Manager
– Barcode Scanner
– Google Maps Navigation
– Handcent SMS
– Yahoo Mail
– VPlayer
Autonomie
En utilisation quotidienne le mobile tient facilement la journée avec ces éléments en tache de fond (3 boites mails, météo géolocalisée, navigation Internet et 3G activée en permanence). J’ai eu l’occasion de comparer avec un SGS (Samsuyng Galaxy S) le résultats est quasi identique. De nos jours, les msartphones surfent sur la même tendance, c’est regretable mais avec des écrans de plus en plus grands, des processeurs de plus en plus rapide, les batteries sont de plus en plus sollicitées.
Conclusion:
Faut-il ou non passer au Nexus S lorsque l’on a un Galaxy S ? La réponse est non, la caractéristiques techniques sont très proches. On espère que les mises à jour de Samsung suivront pour évoluer vers la version 2.3. La finition du mobile est également similaire au Galaxy S. L’objectif étant de mettre en avant le dernier OS d’Androi à ce jour pour les mobiles. Comme pour le Nexus One, c’est un modèle « vitrine ». Actuellement disponible aux États-Unis, on espère que ce mobile arrivera dans nos contrées prochainement. Comme pour le Nexus premier du nom, il arrivera dans un premier temps via les distributeurs de type Phone&Phone pour ensuite être disponible par le biais des opérateurs classiques tels que SFR.
Tonsmartphone 